L'histoire débute à l'été 2016 lorsque TomTom lance un nouveau concours, après celui organisé à l'occasion du Go Sport Running Tour du Château de Versailles (dont nous vous parlions ici), réservé aux possesseurs de montres de la même marque pour participer à la 38ème édition des 20km de Paris. Pour cela, il suffisait de partager l'une de ses sorties effectuées avec sa montre.
J'ai ainsi eu le plaisir d'être pour la deuxième fois cette année tiré au sort pour m'aligner sur cette classique sous les couleurs de la Team TomTom.
Les faits
Les mois passent, la préparation suit son court et nous arrivons au week-end des 8 et 9 octobre 2016.
Le programme débute le samedi matin par un réveil musculaire généreusement proposé à tous les inscrits par l'organisation et, en particulier, Diadora (partenaire principal de la course). Cette dernière session vient s'ajouter aux 14 autres séances de préparation auxquelles je n'ai pas participé pour des raisons diverses et variées. J'en ai aussi profité pour récupérer le dossard (et un beau maillot)
Dimanche 9 octobre, jour de course. Etant inscrit dans le SAS 1h45-1h55, l'organisation me conseille de ne me présenter qu'à partir de 9h00 pour un départ à 10h25 mais, comme je suis un angoissé de la maîtrise et impatient de retrouver les collègues de la Team, j'arrive au village partenaire aux alentours de 8h30 ce qui me permet de prendre le temps de me changer, de bénéficier d'un échauffement exclusif et de discuter avec les amis. Le temps passe, il est 9h45 et nous nous dirigeons vers les SAS. Principe de précaution oblige, une sécurité exigeante a été mise en place avec un premier filtrage avant l'accès aux SAS. Quelques dizaines de minutes plus tard, le barrage est passé et j'accède à mon SAS qui ne m'a pas attendu comme bien d'autres d'ailleurs. Finalement, j'intègre le SAS 1h55-2h05 et prend le départ de la course à 10h52 précises avec pour objectif boucler les 20km en moins d'1h50.
La course
Comme pour toutes les grandes courses parisiennes, le départ se fait au ralenti façon périph à l'heure de pointe, c'est l'occasion de remonter en température après ces longues minutes d'attente. Sur ce 1er km, nous courons en compagnie des premiers partis mais sans partager leur voie de circulation. Virage à gauche et remontée vers l'Arc de Triomphe sur près d'1km, l'échauffement continue donc. Encore à gauche et on rejoint l'avenue Foch et sa descente sur pavés vers le Bois de Boulogne que nous atteignons au 4ème km. La route se fait plus clairsemée et j'en profite pour adopter mon rythme de croisière.
km5, le premier ravitaillement. Au menu, petites bouteilles d'eau plate ou gazeuse, fruits frais, secs ou séchés et sucre en morceaux. Je passe commande d'une eau plate et de 2 figues séchées. Le parcours "boisé" et roulant se poursuit jusqu'au km10 et deuxième ravitaillement dont je ne profite pas ayant conservé ma petite bouteille. Bonne intuition car, cette fois, l'eau est servie en gobelet (ce que je ne trouve pas très pratique pour se désaltérer en courant).
Au 11ème km, nous rejoignons les voies sur berge et les quais que nous ne quitterons qu'au km17 pour mieux les retrouver après une traversée de la Seine par le Pont Royal. Bouteille toujours en main, j'ai dépassé le troisième ravitaillement au 15ème sans y jeter un œil.
Les 3 derniers km sont plutôt roulants, petit sprint final et je passe la ligne au bout de 1h48min59s (en comptant une petite pause vidange dans les bois). Pour le dernier ravitaillement, on trouve de petite bouteilles d'eau, plate ou gazeuse, et un petit sac contenant une pâte de fruit, une pomme et une compote. De quoi refaire le plein de vitamines.Mes impressions
Si l'on met de côté les difficultés d'accès aux SAS, mon avis est très positif quant à cette première expérience sur les 20km de Paris.
A l'intérieur des SAS, une super ambiance sous la houlette des célébrissimes Seeve Kondo et Harry Bignon qui nous accueille aussi à l'arrivée. Sur le parcours, différentes animations musicales sont proposées et le public est là pour nous encourager sauf dans le Bois de Boulogne où régnait plutôt le silence. Des ravitos bien garnis, une médaille très originale et colorée, dommage que, selon moi, le tee-shirt colle un peu moins au thème BD de cette édition de par sa sobriété.
Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas couru dans Paris et j'ai redécouvert avec grand plaisir cette magnifique ville à tel point que, parfois, j'en oubliais que j'étais en train de courir.
J'ai particulièrement apprécié l'avant et l'après-course grâce à l'accueil organisé par TomTom aux membres de sa team et les échanges avec eux.
Mon prochain gros objectif de l'année 2016 est le Semi-Marathon de Boulogne-Billancourt, le dimanche 20 novembre. Mais, pour patienter jusque là, je participe pour la première fois à l'Ekiden de Paris, le dimanche 6 novembre, et à la course Les Bacchantes-Paris (3ème participation), le vendredi 11 novembre.
Et le(s) mot(s) de la fin
Merci à tous les intervenants de la course : organisateurs, partenaires, bénévoles, ...
A bientôt pour de nouvelles aventures.
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